Histoire érotique : La première fois que j’ai testé la sodomie

J’essayais de me concentrer tant bien que mal sur le discours de mon professeur mais rien ne faisait, mon esprit divaguait. Je n’arrêtais pas de repenser à hier soir. D’ailleurs plus j’y pensais, plus je sentais mon string se tremper. Je renonçai à écouter mon professeur et posai mon stylo sur mes notes.

Une image de Paul me traversait l’esprit. Son physique grand et musclé, qui faisait plus penser à un nageur qu’à un bodybuilder ne manquait jamais de m’exciter. La nuit dernière n’avait pas fait exception à la règle. On avait prévu de dîner ensemble, puis d’aller au cinéma. J’étais prête et l’attendais avec impatience. Je jetais un dernier coup d’oeil dans le miroir, pas mécontente de mon choix de tenu et de maquillage. C’est alors que j’entendit frapper à la porte.

Paul entra et m’embrassa directement. Il s’est ensuite reculé et a regardé mon corps avec des yeux affamés. La façon dont il me déshabillait rien qu’en me regardant m’excitait toujours. Il m’attira à nouveau contre lui et laissa ses mains parcourir mon corps tout en m’embrassant. Il s’attarda sur mes fesses, pressant chacune d’entre elle et me rapprochant encore plus de lui. Je le sentit directement se durcir contre moi et je laissé échapper un gémissement. Il continua de me pétrir les fesses et je sentais l’excitation commencer à monter. Ma chatte serrée commençait à s’humidifier. Toute idée de dîner chassée de nos esprits, il me porta jusqu’au lit et m’allongea. Je commençai à déboutonner sa chemise lorsqu’il posa sa main sur la mienne, me faisant signe d’arrêter.

« Tu sais, il y a quelque chose que j’ai toujours voulu faire avec toi ». Il dit doucement, en traçant mes mamelons du bout des doigts.

« Oh ? Qu’est-ce que c’est ? » demandais-je, essayant de ne pas être trop absorbée par l’attention qu’il portait à mes seins.

« Mais avant que je te le dise, tu dois me promettre que tu me laisseras au moins essayer. Et si tu n’aimes pas ça, tu pourras bien sûr me dire d’arrêter ».

« Hé ! C’est pas juste ! » répliquais-je, mais je fus coupée net lorsqu’il pressa fermement ses lèvres contre les miennes, et glissa sa main sous mon haut pour continuer à me caresser les seins. Je gémis dans sa bouche, il tira sur mon mamelon et en pinça le bout durci entre ses doigts. “ Oh putain Paul, qu’est-ce que c’est ?”

« Je ne vais pas te le dire tout de suite, je vais te montrer, mais tu dois faire ce que je te dis, d’accord ?

J’acquiesçais et attendis qu’il commence.

Il commença par me faire me tenir devant le lit, dos à lui. Plaçant ses mains sur mon dos, il commença à me pousser légèrement vers l’avant.

« Comme ça », a-t-il soufflé, alors que mon corps était penché devant lui. Ma courte jupe en jean ne touchait plus que le bas de mes fesses. Il la releva brutalement, à peine capable de se contenir. Vêtue d’un string en satin, les fesses légèrement écartées, j’imaginais son regard sur mon arrière train, la vue de mes fesses exposées, irrésistible. Il s’agenouille derrière moi et, plaçant une main sur chaque fesse, il m’écarta le cul. Je sentais qu’il fixait maintenant mon anus, à peine couvert par le string, qui n’attendait que sa langue. Il se pencha en avant et fit glisser sa langue le long de ma fente. Nous n’avions jamais rien essayé de tel auparavant et je le sentais se tendre, sûrement anxieux de ma réaction. Pour le rassurer, j’ai poussé mon cul contre son visage et ai gémis quand j’ai senti sa langue de nouveau. Il enfonça sa langue dans mon cul, et suça mon string, le retirant d’entre mes fesses écartées avant de se débarrasser de celui-ci d’un mouvement fluide. Il a alors tendu la main vers l’avant et a senti ma chatte humide et dégoulinante, mes lèvres lisses déjà enduites de mouille.

Décidant d’accélérer un peu le rythme, il fouilla dans sa poche et en sortit un tube de lubrifiantIl en appliqua une bonne quantité sur son doigt. Il en appliqua une généreuse quantité sur son doigt et commença à le faire glisser le long de ma fente. J’étais tellement excitée que je me suis mise à genoux pour pouvoir lâcher le lit d’une de mes mains et l’utiliser pour toucher ma chatte trempée.

« Je vais rentrer dans ton cul maintenant, bébé », dit-il. « Détends-toi et respire profondément. » Sur ce, il commença à faire pénétrer son gros doigt dans mon cul.

« Oh, baise-moi avec ton doigt, Paul, pompe mon cul ! » criais-je en me déhanchant pour profiter au maximum de son doigt. Je sentais sa bite palpiter contre mon cul, anticipant déjà de remplacer son doigt. Il commença à accélérer le rythme, martelant mon petit cul vierge jusqu’à ce que je le supplie de me prendre avec sa queue.

« Paul », gémis-je désespérément, « Oh putain de oui, mmm, je veux ta bite dans mon cul ! Baise mon cul Paul, je veux cette putain de bite bien enfoncée dans mon petit cul serré ! »

Je sais que c’était le moment qu’il attendait depuis qu’il avait vu mon cul la première fois. Il se redressa, enleva son jean et laissa tomber son caleçon sur le sol. Sa grosse bite était déjà dure comme de la pierre. Il s’est enduit la queue de lubrifiant, aillant déjà hâte de l’enfoncer profondément dans mon cul chaud et vierge.

Plaçant le bout de sa bite directement contre mon trou, il commença à l’enfoncer légèrement. Je me tortilla, essayant de détendre mes muscles.

« Ça va bébé ? », m’a-t-il demandé. Je sais qu’il ne voulait pas me faire de mal

« Oh oui », ai-je respiré, « Plus profond ! ».

Et c’est ce qu’il a fait. Lentement, il enfonça sa bite dans le trou de mon cul, jusqu’à ce que ses couilles touchent ma peau nue. Il se retira à nouveau, me tenant par les fesses, gémissant en me les malaxant.

« Baise mon cul comme si j’étais ta petite salope », lui ordonnais-je en enfonçant à nouveau mon cul autour de sa queue. Il commença alors à me baiser l’anus avec force.

« Oh, t’aime ça ! » cria-t-il, « Prends ma bite comme une bonne petite pute ! Mmm dans tous les trous t’aime ça »

Mes cris de « Baise-moi ! Oh oui, enfonce ta bite dure dans mon petit cul serré” le rapprochaient de plus en plus de l’explosion. Le rythme de ses coups de rein finissaient par me faire crier encore plus fort et faire trembler tout mon corps.

« Oh putain ! Paul ! Je suis en train de jouir oh putain ! » je sentais la crème de ma chatte commercer à couler le long de mes jambes pendant que ma chatte et mon cul se contractaient autour de lui. Le garrot que mon orgasme provoqua le fit jouir à son tour.

Épuisés, on s’effondra sur le lien, en essayant de reprendre tant bien que mal notre respiration.

« Nous ne sommes pas obligés de recommencer si tu ne veux pas », me dit-il

« Tu plaisantes ? » s’exclamais-je, « J’ai adoré, c’était tellement puissant ».

« Julie ? Le cours est terminé depuis deux minutes. Vous vouliez me parler ?”

Sortant de ma rêverie avec un air que j’image surprise, je levais les yeux vers mon professeur.

« Oh désolé monsieur », bafouillais-je en essayant de rassembler ses livres, « je…je ne me sens pas très bien ».

« Oh ? Vous avez l’air un peu rouge effectivement. Vous devriez rentrer vous reposer”.